30 octobre 2015
Les gens heureux lisent et boivent du café*, Agnès Martin-Lugand (Pocket, 187 p)
Après un début intéressant sur le thème du deuil le récit se transforme en parfaite bluette. Seule l’héroïne, personnage d’emmerdeuse nombriliste tout à fait dans l’air du temps, nous rappelle que nous ne sommes pas dans un livre de Barbara Cartland.
Sinon tout le reste y est : la belle veuve éplorée, la grève Irlandaise battue par les vents (so romantique), le voisin ténébreux et si méchant, la sublime brune montée sur talons aiguilles qui va troubler l’amour naissant… c’est beau, non ?
Réservé exclusivement aux amatrices de romances.
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